Qui achète cette peinture ? Les entreprises ? Les organismes d’État ? Les spéculateurs à court terme ? Les “blanchisseurs” d’argent sale ? Qui lit cette littérature ? Elle se feuillette puis s’oublie dans les rangées des bibliothèques. Qui écoute cette musique ? Personne ou presque. Et pourtant, chacun des initiés de la culture se croit - depuis quarante ans - obligé d'y trouver certaines beautés, même quand tout démontre qu'il s'y ennuie et préfère les beautés anciennes.
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Info: Dans "Requiem pour une avant-garde"
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