Les femmes, m’a-t-il semblé, devaient être – je parle des femmes réelles, pas de la Vénus de Milo – devaient avoir dans l’Antiquité beaucoup de poils et ne devaient pas sentir bon, si l’on en croit l’insistance qui est mise sur la fonction du rasoir et sur certain parfums.
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Info: Dans "Le séminaire, livre V", page 31
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