Cécile Coulon me pardonnera de ne jamais avoir ouvert un seul de ses romans, et d’en penser a priori tout le mal possible. Mes journées sont limitées, la lecture ou la relecture des grands textes me prend beaucoup de temps, et la foire médiatico-littéraire a au moins ceci d’avantageux qu’elle contient son lot de palabres qui dispensent, le plus souvent, de se confronter aux réalisations des uns et des autres. Quand l’intéressée déclare par exemple, dans une interview où son passé de khâgneuse brille de mille feux, qu’un roman, "c’est d’abord une putain de bonne histoire", on ne m’en voudra pas de considérer que le propos m’exonère de toute enquête supplémentaire.
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Info: http://www.juanasensio.com/archive/2018/11/24/lorsqu-hello-kitty-fait-de-la-poesie-cecile-coulon-floue-tous-les-couillons.html?
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