La force des intellectuels est devenue très fragile aujourd’hui : on vend moins de livres, il y a la crise des journaux et la vitesse, la rapidité des nouvelles aujourd’hui… Normalement, le travail de l’intellectuel est de ralentir… il s’agit d’approfondir. Avec la vitesse, l’immédiateté, la perception de l’intellectuel en Italie est celle d’un manipulateur. Le livre est perçu comme un objet à risque, comme un objet qui peut manipuler celui qui le lit.
Auteur:
Info:
Commentaires: 0