Chez les Verts, la question n’est pas pourquoi se déplacer, mais comment se déplacer plus, plus vite et plus loin, tout en respectant son prochain, sa génération future et le monde dont celle-ci va hériter. Rappelons que sur l’échelle des nuisances, l’ "empreinte écologique" des métros qui transportent plus vert que vert est aussi lourde que celle de la voiture individuelle. Les mégawatts d’énergie nucléaire engloutis par le métro automatique, le tramway électrique ou le data center nécessaire à la billetterie informatique, tout aussi responsables du dérèglement climatique, ne sont pas la priorité des verts. Le développement des métropoles peut continuer bon train.
Auteur:
Info: Dans "L'enfer vert", page 42
Commentaires: 0