Là où aucune langue ne se déploie, comme dans l’être de la pierre, de la plante ou de l’animal, là il n’y a pas d’ouverture de l’étant et, par conséquent, pas d’ouverture du Non-étant et du vide.
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Info: Dans 'L'origine de l'oeuvre d'art" in Chemins qui ne mènent nulle part, page 83
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