Les hommes et les femmes réels, empiriques, n’étaient que de grossières mutilations de ce qu’ils pouvaient être et de ce qu’était leur vocation, de pâles reflets de leur vrai potentiel. Pour acquérir leur véritable essence, pour devenir ce que la nature les prédestinait à être, il leur fallait d’abord être transformés, et cette tâche gigantesque de la transformation requérait les conseils de ceux qui savaient ce que la nature humaine était censée être et comment élever les hommes et les femmes empiriques à ce haut niveau que leur vraie nature ordonnait.
Auteur:
Info: Dans "La vie en miettes", page 144
Commentaires: 2
Coli Masson
11.06.2019
Maintenant (postmodernité).
miguel
10.06.2019
ça parle de quelle époque précise ?