"Je n’ai pas vu Spinoza" disait Valéry. Moi non plus. Du vivant de Spinoza, l’homme disparaît déjà derrière ce qu’il écrit et la légende déforme les maigres informations que l’on possède sur son mode de vie dans le but de déprécier l’œuvre ou de la magnifier. On balance entre l’hagiographie la plus plate et l’expression d’une détestation extrême. Il n’y a pas d’intermédiaire.
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Info: Dans "Spinoza, le masque de la sagesse", page 12
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