Les sciences ont commencé à se développer. Leur fondement philosophique n'a jamais été très solide. Débutant comme de modestes opérations de sondage pour démêler les œuvres de Dieu dans ce monde, suivant ses traces dans la nature, elles ont graduellement été amenées à des généralisations de plus en plus gigantesques. Comme les pièces du puzzle géant ne semblaient jamais s'emboîter parfaitement, il a fallu construire des sous-ensembles de puzzles plus petits et plus homogènes, pour chacun desquels l'ajustement était meilleur.
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Info: Voices in the Labyrinth. Perspectives in Biology and Medicine, VII, Volume 18, Spring 1975, (p. 323)
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