L’art de Raymond Lulle avait néanmoins un point commun avec les intentions de Bacon et de Descartes : il s’engageait à fournir un art universel, une méthode qui, fondée sur la réalité, pourrait être appliquée à la recherche de la solution de tous les problèmes. C’était, en outre, une sorte de logique géométrique, composée de carrés, de triangles et de roues combinatoires en mouvement ; et il utilisait une notation par lettres, pour exprimer les concepts dont il s’occupait.
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Info: L'Art de la mémoire
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