Et il pensait à sa vie sereine d’autrefois. […] Le salut lui semblait une belle route. Il riait, à cette époque, quand on parlait de la tentation. Il vivait au milieu du mal, sans le connaître, sans le craindre, avec la certitude de le décourager. Il était un prêtre parfait, si chaste, si ignorant devant Dieu, que Dieu le menait par la main, ainsi qu’un petit enfant.
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Info: Les Rougon-Macquart, tome 5 : La faute de l'abbé Mouret
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