8 avril. Je veux parler de deux chênes robustes, qui, côte à côte,
Résistent à le tempête de l'hiver,
Et malgré vents et marées,
Croissent et font de la prairie la fierté,
Car tous deux sont forts.
Au-dessus, ils se touchent à peine mais
En remontant jusqu'à la source,
Emerveillés, vous découvrirez
Que leurs racines sont entremêlées
Inséparablement.
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Info: Journal (I) octobre 1837- décembre 1840
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