Il me faudrait cent ans pour traduire au plus près le cœur du cœur de l’émotion.
Il me faudrait mille ans pour mélanger les temps, en extraire le suc, vivre comme un nabab dans une goutte d’éternité.
Il m’en faudrait dix mille pour concevoir la Perfection...
C’est un fœtus lové dans une larme d’Amour pur.
Et je n’ai que ma vie, courte, fragile et imparfaite, pour n’en saisir que l’ombre d’un reflet.
Auteur:
Info: Des Mots de Contrebande, (Aux inconnus qui comme moi...)
Commentaires: 0