Nous mourons vers le bas, nous nous éteignons à l’ombre de nos paupières, au lieu de mourir les muscles tendus, tel un coureur qui attend le signal, la tête renversée, prêt à braver l’espace et à vaincre la mort dans l’orgueil et l’illusion de sa force ! Je rêve souvent d’une mort indiscrète, complice des étendues…
Auteur:
Info: Des larmes et des saints
Commentaires: 0