Et moi, brassant toutes ces pensées,
Je m’en retrouvai moins heureux…
J’en restai morfondu, mélancolique et sombre
Comme un jour où tout le jour l’orage menace
Et la nuit tombe sans qu’il ait éclaté.
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Info: Poésies d'Alvaro de Campos - Le Gardeur de troupeau, autres poèmes d'Alberto Caeiro
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