Le féminisme, loin de pouvoir conférer à la femme des "droits" inexistants parce que contraires à la nature des choses, ne peut que lui enlever sa dignité spécifique ; c'est l'abolition de l' "éternel féminin", de la gloire que la femme tient de son prototype céleste. Au demeurant, la révolte contre l'homme, comme le culte de la jeunesse ou le mépris de l'intelligence, est indirectement une révolte contre Dieu.
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Info: Dans "Sentiers de gnose", p. 55, note (1)
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