On harmonise le souffle, puis on l’avale et on le retient aussi longtemps que possible : on médite sur l’endroit malade, on y déverse par la pensée le souffle et on le fait par la pensée lutter contre la maladie en essayant de forcer le passage obstrué. Quand le souffle est à bout, on le rejette, puis on recommence de vingt à cinquante fois ; on s’arrête quand on s’aperçoit que la sueur coule à l’endroit malade. On recommence tous les jours à minuit ou à la cinquième veille, jusqu’à la guérison.
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Info: Dans "Maspéro, Formule orale efficace et secrète se rapportant à divers procédés d’absorber le souffle" page 364
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