Le peintre invente des espaces magnifiques, vertigineux, d'où jaillit la lumière. Il retrouve "la terreur ensorcelante" des orages qu'il éprouvait enfant, la beauté des éclairs qu'il attrapait au vol et qui remplissait les pages de ses cahiers d'écolier, la puissance des cieux qui lui transmit "l'urgence de la spontanéité" - une splendeur déchaînée. C'est éblouissant.
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Info: A propos de Hans Hartung au MAM de Paris
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