[…] L’opposition entre la vie et la religion, devait être ramenée à l’opposition entre le temps et l’éternité. Car le progrès n’avait lieu que dans le temps ; dans l’éternité, il n’y avait pas de progrès, non plus que de politique et d’éloquence. On y appuyait en quelque sorte la tête sur l’épaule de Dieu et l’on fermait les yeux.
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Info: La Montagne magique
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