Il y a un moment, dans la vie, tôt ou tard, où on découvre le monde extérieur, ce qui résiste, les hommes, les choses. Alors, il faut s’asseoir devant l’obstacle ou abandonner l’idéalisme. Ma représentation du monde n’en est qu’une et presque négligeable, si je ne connais que celle-là. Pour vivre, pour continuer ma route, il faut que je m’ingénie à découvrir celles d’autrui.
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Info: Les Pas sur le sable . Société Littéraire de France, 1919
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