Chaque jour, après le déjeuner, quand le temps le permettait, je m’adonnais aux constructions. A Peine la dernière bouchée avalée, je "jouais" jusqu’à l’arrivée des malades ; et le soir, si mon travail avait cessé suffisamment tôt, je me remettais aux constructions. Ce faisant, mes pensées se clarifiaient et je pouvais saisir, appréhender de façon plus précise des imaginations dont je n’avais jusque-là en moi qu’un pressentiment trop vague.
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Info: Ma vie
Commentaires: 1
Coli Masson
27.02.2020
Un grand malade.