Je l’ai choisi pour ce qu’il signifie, je ne suis pas libre d’écrire ce que j’écris : la pensée va au-delà de la parole et, pour exprimer ma pensée, il faut que je la soumette aux lois de la parole. Je suis donc le valet de la parole, le valet de la poésie.
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Info: In " Un jeune homme chargé d’un noble service ", entretien avec Madeleine Chapsal, l’Express, 15 août 1963
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