relativisation

Le nombre total de morts dus au coronavirus, en 4 mois et dans la totalité du monde, correspond à ce jour au nombre de victimes quotidiennes de la famine. Il correspond également au nombre de victimes quotidiennes de la pollution. Accessoirement, il correspond enfin au nombre d'animaux que nous tuons chaque seconde.
Cela ne rabaisse en rien la gravité de ce qui advient et qui va empirer, évidemment. Cela ne doit surtout pas légitimer une appréhension du tragique en termes purement comptables.
Mais cela invite néanmoins à un peu de décence quant à notre perception du monde quand "tout allait bien".

Auteur: Barrau Aurélien

Info: posté le 28 mars sur sa page FB

[ mise en perspective ]

 

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