Papillons sur la roue
d'un monde qui tourne sans relâche,
chaque fragile battement d'ailes
actione le moteur,
O Gaïa.
Les papillons font naître une brise
et les ondes se propagent sans cesse,
au loin des cyclones se forment,
ce monde est entièrement connecté,
O Gaïa.
Essuie ces larmes de tes yeux fatigués,
chaque respiration est un soupir sacré.
Papillons sur la roue,
créant de l'ordre à partir du chaos,
et chaque onde dans l'air
fait tourner le moteur, partout.
Pleure ces larmes, puis sèche ces yeux fatigués,
chaque respiration te tient en vie.
Papillons, tels nous sommes,
gelés en vol sous le ciel étoilé,
mais les esprits poursuivent leur vol,
en ce sens, nous lui appartenons tous.
O Gaïa.
Et la somme des parties
est le coeur, qui pardonne tout, de Gaïa.
Auteur:
Info: Paroles de la chanson "Gaïa", sur l'album "Fireships. Trad. Benslama
Commentaires: 5
Benslama
18.04.2020
Merci - la vidéo pourrait être qualifiée de "kitsch"... mais en fait, je l'aime bien ! (Hammill passe quelquefois bien près du kitsch...) (je précise ce qui doit être une évidence - c'est ma deuxième citation de Hammill dans FLP - c'est un de mes chanteurs préférés)
Benslama
18.04.2020
Oublié de préciser, en effet, qu'il s'agit de ma traduction (je devais en avoir un peu honte...)
miguel
18.04.2020
OK. Merci pour les précisions. J'ai linké les premiers mots avec la musique et mis cet insert dans la chaîne textes/musiques