En somme, j'essaie d'oublier la musique, parce qu'elle me gêne pour entendre celle que je ne connais pas ou connaîtrai "demain"... Pourquoi s'attacher à ce que l'on connaît trop bien ?
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Info: In "Monsieur Croche" - disponible sur Gallica
Commentaires: 2
miguel
19.04.2020
Pour un chercheur c'est pareil. Le dépaysement libérateur sera préféré au décoratif confortant, vu comme aliénant au-delà d'une certaine routine.
Plouin
19.04.2020
Et pourtant, quelle échappée, quelle impatience après les premières mesures d'une musique aimée. Une différence entre le consommateur qui reçoit et le créateur, que mobilise une autre forme d'impatience.