Certes, le métier de commissaire-instructeur n'est pas une sinécure : il faut travailler de jour comme de nuit, rester assis pendant des heures et des heures à un bureau, mais enfin, vous n'avez nul besoin de vous casser la tête pour trouver des "preuves" (ça, c'est le travail de l'inculpé : à lui de se torturer les méninges).
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Info: L'Archipel du Goulag
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