Dans le cas d'un emploi dialectique de différentes coupes du réel juxtaposées dans un film, je dirais : dans l'absence d'une partie des images existe la présence d'une autre partie des images. C'est un peu comme la coexistence du plein et du creux : bien qu'on puisse les voir séparément, ils ne peuvent exister l'un sans l'autre.
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Info: Cité dans "Passage du cinéma, 4992", éd. Ansedonia - propos recueillis par S. Daney et J.P. Fargier, "Cahiers du cinéma", n.290-291
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