Car les mots sont cacophonie et la grammaire les arrange mal, la grammaire qui a peur du mal parce qu'elle cherche toujours le bien, le bien-être, quand le mal est la base de l'être, peste douleur de la cacophonie, fièvre malheur de la disharmonie, pustule escarre d'une polyphonie où l'être n'est bien que dans le mal de l'être, syphilis de son infini.
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Info: "Le surréalisme et la fin de l'ère chrétienne"
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