Gobineau a certes entrevu que le milieu primitif avait pu modeler ses races […]. Mais comment n’a-t-il pas compris que le mélange ethnique, dont il dénonce les méfaits, imprime le départ à des formes libérées des disciplines morales jugées par lui nécessaires au développement de l’homme abstrait qu’il imagine, grâce à un échange constant entre les variations de l’homme et les variations du milieu ?
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Info: L’Esprit des formes, op. cit., 1933, p. 143-144
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