Les battements de son cœur, l’aller-retour de l’air dans ses poumons, peut-être même son renouvellement cellulaire n’assurèrent qu’un strict minimum à peine perceptible, une manière de coma, presque impossible à distinguer de la mort clinique pour un profane. De cela, qui se passait dans son corps, Ferrer n’eut aucunement conscience non plus, n’éprouva la moindre souffrance, au mieux le traversa-t-il comme un rêve et peut-être en effet rêva-t-il.
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Info: Je m’en vais
Commentaires: 1
miguel
04.06.2020
Attention les majuscules ! ;-)