Ils ont comparé la prima materia à toutes choses, au mâle et à la femelle, monstre hermaphrodite, au ciel et à la terre, au corps et à l’esprit, au chaos, au microcosme et à la massa confusa ; elle renferme en elle toutes les couleurs et potentiellement tous les métaux ; il n’y a rien de plus merveilleux qu’elle au monde, car elle se féconde elle-même, se conçoit elle-même et s’enfante elle-même.
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Info: Liber de alchemiae difficultatibus, page 178
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