Tous les régimes de faiblesse, tous les régimes de capitulation devant l’ennemi sont aussi ceux des plus grands massacres de la population militaire et de la population civile. Rien n’est meurtrier comme la faiblesse et la lâcheté. Rien n’est humain comme la fermeté. C’est Richelieu qui est humain littéralement et c’est Robespierre qui est humain. Les régimes de lâcheté sont ceux qui coûtent le plus au monde, et en définitive ce sont ceux qui peuvent finir et les seuls qui finissent réellement dans l’atrocité. […] Les régimes qui ne commencent pas par annuler les mauvais bergers finissent toujours par massacrer le troupeau même.
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Info: L’Argent suite ; Cahiers de la quinzaine, XIV, 9 : 27 avril 1913
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