La première tentative moderne pour tester l'efficacité de la prière fut l'enquête, novatrice mais imparfaite, de Sir Francis Galton en 1872. Une domaine qui a végété jusque dans les années 1960, lorsque plusieurs chercheurs ont commencé des études cliniques et de laboratoire destinées à répondre à deux questions fondamentales : (1) Les intentions de prière, de compassion et de guérison des humains affectent-elles les fonctions biologiques chez les individus éloignés même s'ils ne sont pas conscients de ces efforts ? (2) Ces effets peuvent-ils être démontrés dans des processus non humains, tels que la croissance microbienne, des réactions biochimiques spécifiques ou la fonction d'objets inanimés ? La réponse à ces deux questions semble être oui.
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Info: The Akashic Experience: Science and the Cosmic Memory Field
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