Dès l'aube, chers rayons, mon front songe à vous ceindre !
A peine il se redresse, il voit d'un oeil qui dort
Sur le marbre absolu, le temps pâle se peindre,
L'heure sur moi descendre et croître jusqu'à l'or...
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Info: Première strophe du poème "Air de Sémiramis"
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