[…] si le plus bel air du monde devient vulgaire, insupportable, dès que le public le fredonne, dès que les orgues s’en emparent, l’œuvre d’art qui ne demeure pas indifférente aux faux artistes, qui n’est point contestée par les sots, qui ne se contente pas de susciter l’enthousiasme de quelques-uns, devient elle aussi, par cela même, pour les initiés, polluée, banale, presque repoussante.
Auteur:
Info: A Rebours
Commentaires: 0