La littérature est toujours une affaire de résumé, même sur dix mille pages, puisqu’il faut toujours tenter de faire comprendre à quel point l’espèce, elle, est au contraire une paraphrase délayée, une glose doublonnante et assommante.
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Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 2 : Mutins de Panurge", éd. Les Belles lettres, Paris, 1998, page 184
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