Ici, j’ai survécu au réveillon de Noël et il ne me reste plus qu’à passer ces réjouissances de l’ignorance que représente le réveillon du Nouvel An. Le 2 janvier a toujours été l’un de mes jours préférés. Toutes ces conneries sont passées et les masses retournent en rampant dans leur trou où ils ont leur place. Au fur et à mesure qu’ils dépriment et s’aigrissent, moi j’avance dans la lumière. Ou ce qui reste de lumière.
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Info: Lettre à William Packard, 30 décembre 1991
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