Avec Céline l’écœurement pour moi est venu vite : il ne m’a pas été nécessaire de dépasser le premier tiers du Voyage au bout de la nuit où j’achoppai contre je ne sais plus quelle flatteuse présentation d’un sous-officier d’infanterie coloniale. Il me parut y avoir là l’ébauche d’une ligne sordide. […] Horreur de cette littérature à effet qui très vite doit en passer par la calomnie et la souillure, faire appel à ce qu’il y a de plus bas au monde.
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Info: 1950
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