La femme que j'admire dans les temps passés et dans le présent est celle qui vit en Dieu dans le fond des cloîtres, puis, dans un autre ordre d'idées, l'éternelle abandonnée qui expie la suite de ses tristes gésines en se tuant à la peine pour élever honnêtement, pieusement, des mômes : toutes femmes dont on ne parle guère.
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Info: Réponse à une enquête du journal féministe La Fronde du 12 avril 1898
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