Avec ce patient particulier, il était d’une importance vitale que je reconnaisse qu’au centre, il n’y avait rien. Non seulement il ne croyait pas qu’il y avait là quelque chose qui pouvait s’appeler "lui", mais en fait il savait qu’au centre il n’y avait rien, ce qui était pour lui la seule chose supportable. Si je commençais à lui fournir le moindre espoir qu’il y avait quelque chose au centre, il devait me détruire.
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Info: La crainte de l'effondrement et autres situations cliniques
Commentaires: 10
Coli Masson
24.10.2020
Je sens que c'est à contre-coeur. Mais c'est vrai que je n'ai pas l'habitude.
miguel
23.10.2020
je ne fais qu'optempérer... tu dois pas avoir l'habitude ;-)
Coli Masson
23.10.2020
Oh, ne boude pas :(