Appeler "amélioration" la domestication d’un animal, c’est là, pour notre oreille, presque une plaisanterie. Qui sait ce qui arrive dans les ménageries, mais je doute bien que la bête y soit "améliorée". On l’affaiblit, on la rend moins dangereuse, par le sentiment dépressif de la crainte, par la douleur et les blessures on en fait la bête malade. – Il n’en est pas autrement de l’homme apprivoisé que le prêtre a rendu "meilleur".
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Info: Cid 157-158
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