[…] votre personne m’a rempli de confiance en l’avenir, je sais à présent que je suis remplaçable comme tout autre, et je ne souhaite pas d’autre et de meilleur continuateur que vous pour achever mon travail, tel que j’ai fait votre connaissance. Je suis sûr que vous ne laisserez pas le travail en plan, car vous y avez regardé trop profondément et trouvé vous-même combien nos choses sont saisissantes, combien elles mènent loin et combien, véritablement, elles sont belles.
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Info: Après sa rencontre avec Jung, dans la "Correspondance Jung-Freud, tome 1 : 1906-1909", trad. de l'allemand et de l'anglais par Ruth Fivaz-Silbermann, éd. Gallimard, 1975, page 73, lettre du 7 avril 1907
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