Dans Ulysse [de James Joyce], un monde s’écroule, à bout de souffle, en un torrent de débris presque interminable, un monde "catholique", c’est-à-dire un univers de soupirs et de cris [que personne n’entend], de pleurs jamais versés, car la souffrance [s’est éteinte d’elle-même et] un immense champ de ruines commence à révéler ses "valeurs" esthétiques.
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Info: Lettre à sir Herbert Read, 2 septembre 1960
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