Le voyageur glissant sur l’océan ou gravissant la montagne préfère consacrer son énergie vitale à s’émerveiller du spectacle du monde plutôt qu’à ratiociner sur son tas de misérables secrets intérieurs. Il privilégie l’exploration à l’introspection. Il goûte davantage de se tenir debout sur la route que couché sur le divan.
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Info: Préface à Carnets d’aventures, La Guilde européenne du raid / Presses de la Renaissance, 2007
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