populisme

Le peuple élit non pas qui le soigne, mais qui le drogue. 

Auteur: Gomez Davila Nicolas

Info: Carnets d’un vaincu (tiré de Escolios a un texto implícito), 1977, trad. Alexandra Templier, L’Arche éditeur, coll. Tête-à-tête, 2009

[ démagogie ] [ amertume politique ]

 

Commentaires: 7

Ajouté à la BD par miguel

Commentaires

Benslama, karim.benslama@orange.fr
2021-01-02 02:51
"amertume" ?
:-(
miguel, filsdelapensee@bluewin.ch
2021-01-02 04:16
je dirai que ça fait un peu "projection" du tagueur. Votre avis ?D'ailleurs le positionnement, l'attitude, d'où parle le tagueur ? reste un des grand questionnement de FLP. Neutralité et objectivités sont difficiles ;-)
Benslama, karim.benslama@orange.fr
2021-01-02 04:22
mon avis est que l'amertume est très perceptible dans la citation (et qu'elle est confirmée par le titre de l'ouvrage...)
Coli Masson, colimasson@live.fr
2021-01-02 18:00
"opium du peuple" ? :)
miguel, filsdelapensee@bluewin.ch
2021-01-03 05:16
Merci Coli. Sinon, as-tu un pt de vue quant à la féroce polémique engagée plus haut ?
Coli Masson, colimasson@live.fr
2021-01-03 16:30
"amertume" ne me semble pas être une projection du tagueur car effectivement bien perceptible. A la limite préciser "amertume politique" ou "déception politique", un peu moins sentimental donc convenant mieux au politique.
miguel, filsdelapensee@bluewin.ch
2021-01-03 16:35
merci