Moi-même qui ne parle ici de ce grand homme qu’en balbutiant et en frémissant, je confesse, pour la seconde foi, qu’au début de ma salope de carrière, il m’arriva de l’insulter un jour, sans même l’avoir lu, me tenant pour suffisamment édifié par quelques menus potins. S’il en est ainsi de ceux qui semblent fait pour le comprendre, que doit-il espérer des autres ? Verlaine est je crois l’exemple le plus déchirant que nous avons sous les yeux de la vindicte éternelle des brutes contre les entités supérieures.
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Info: A propos de Verlaine, dans "Un brelan d'excommuniés", pages 91-92
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