Strauss interprète le Banquet comme exprimant l’opinion de Platon sur cette profanation : Socrate montre, par sa porte-parole Diotime, qu’Eros n’est pas un dieu. Ainsi, le politique et le théologique se rejoignent et permettent ainsi de retrouver le souci permanent de Strauss.
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Info: Avant-propos à "Sur le Banquet de Platon" de Léo Strauss, trad. Olivier Sedeyn, éditions de l'éclat, Paris-Tel Aviv, 2006, page
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