"Une femme n’est jamais assez mince, ni assez riche", disait l’impératrice Sissi. J’en parlais avec Jean-Marc P.. Nous sommes tombés d’accord : le physique des filles a tellement changé qu’on en vient à se demander si, inconsciemment, elles ne s’apprêtent pas à être au goût des Africains et des Arabes. C’est à ce genre de minuscules changements qu’on peut prendre conscience du grand remplacement qui s’opère. L’apparence physique relève toujours d’une idéologie : celle de l’islamisation n’est pas de mon goût.
Auteur:
Info: Dans "La nuit où j'ai cru devenir fou", 2020
Commentaires: 0