Coli Masson

15.03.2021

Sri Aurobindo et Satprem sont parfois considérés comme des "intemédiaires dévoyés" entre une pensée traditionnelle orientale (l'expression peut être redondante d'ailleurs) et la tournure d'esprit occidentale, ou plus simplement entre la tradition et la modernité. Peut-être pourrez-vous nous faire mieux connaître Satprem par vos ajouts. :)

miguel

15.03.2021

publier prend parfois du temps... il arrive qu'on oublie, c'est le cas ici... Vous avez bien fait de l'indiquer. Il arrive aussi qu'on ne publie pas. Alors on tente d'expliquer... en général parce que le propos est une redite évidente, ou incompréhensible pour nous.

SANTARINI

15.03.2021

Bonjour, Merci bien. De quelle nature sont les réticences que vous évoquez dans ce message ? J'aurais bien du mal, aujourd'hui, à vous raconter les écrits de Satprem car ces lectures de ma jeunesse sont maintenant bien anciennes pour moi. J'ai retrouvé la phrase que je vous ai soumise dans un carnet où je notais, à l'époque, les idées qui me marquaient. Je regrette, maintenant, de ne pas avoir conservé cette habitude pour mes lectures plus récentes. Satprem et Sri Aurobindo font partie des très nombreux auteurs qui ont, d'une manière ou d'une autre, influencé ma quête interminable de l'"envers du décor". Comme je l'ai évoqué dans l'introduction de mon livre récent, je n'ai jamais cessé de chercher avec acharnement à me faire une idée de ce qu'il pouvait bien y avoir "de l'autre côté du miroir". Et j'ai exploré de tous côtés, du côté de la science, bien sûr, mais aussi des religions, des "sagesses". Mais je n'ai jamais eu vraiment de "gourou", de "maître à penser". Plus récemment, je me suis inspiré du bouddhisme, avec le Dalaï Lama et Matthieu Ricard, mais je me suis surtout orienté vers les versions "laïques" de la méditation, avec, par exemple, Christophe André. Au début du chapitre "Remerciements" de mon livre, j'évoque comment de nombreuses lectures et discussions peuvent contribuer à la lente élaboration des idées qu'on a coutume d'appeler "personnelles". Mais, pour moi, cette démarche a toujours été celle d'un chercheur, jamais d'un croyant, bien que j'aie bien souvent consulté les idées de croyants. Si vos réticences concernent le risque de dogmatisation des idées, je les partage… Le doute reste toujours pour moi le meilleur "maître" ! Bonne journée. Bien cordialement. PS : je me rends compte que ma citation sur la pensée (485849) n'a pas été publiée, alors que toutes les autres l'on été. Pourriez-vous me dire comment s'effectue le choix ? Plus généralement, sommes-nous avertis en cas de refus et recevons-nous des explications sur les raisons du refus ? Merci d'avance pour vous éclaircissements.