Littéralement, il les déféquait. [...] il se serait fait couper tous les membres avec des cisailles de tondeur de jument et scier entre deux planches à bouteilles longtemps savonnées, par un maniaque centenaire ivre depuis trois jours, avant de consentir à une démarche personnelle en vue de recueillir, de leurs nidoreuses mains, un quartier de cette charogne archi-putréfiée dont ils sont les souteneurs et qu’ils vendent pour de la vraie gloire !
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Info: Dans "Le Désespéré", Livre de poche, 1962, page 68
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